Choses qui rendent heureux et autres notes de chevet
Morceaux choisis des Notes de chevet (Connaissance de l’Orient)
Haruha akebono : « Au printemps, l’aurore. » Tous les Japonais connaissent par cœur l’ouverture du Makura no sôshi (les Notes de chevet), fleuron de la littérature ancienne dû à une dame de cour de l’an mille. Ses premières phrases évoquent un paysage en mouvement : cycle des saisons, parcours du soleil, traînées de nuages, vol de lucioles ou d’oies sauvages. La toile de fond de montagnes à la lumière changeante place d’emblée les fastes du palais de Heian-kyô (l’actuelle Kyôto), que le lecteur s’apprête à découvrir, sous le signe de la fugacité des phénomènes et de sa conséquence immédiate, le mono no aware, « la poignante mélancolie des choses ».
Corinne Atlan
« Choses qui rendent heureux », « Choses qui égayent le cœur », « Choses qui ont une grâce raffinée », « Choses impatientantes », « Choses qui ne font que passer »… Par listes délicates et perçantes, Sei Shônagon saisit, attentive à leur impermanence, l’essence poétique des êtres et des choses.
Corinne Atlan
« Choses qui rendent heureux », « Choses qui égayent le cœur », « Choses qui ont une grâce raffinée », « Choses impatientantes », « Choses qui ne font que passer »… Par listes délicates et perçantes, Sei Shônagon saisit, attentive à leur impermanence, l’essence poétique des êtres et des choses.
Genre littéraire
Mémoires et autobiographies
Pays
Époque
Moyen Âge
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Détails
112 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782072924903
Date de parution
Editeur et préfacier :
Corinne Atlan
Traduit (japonais) par :
André Beaujard
Collection