La Foire aux Vanités
Roman sans héros
Vanity Fair
La bataille de Waterloo approche et l’Europe retient son souffle. À l’écart du théâtre des opérations, un petit groupe de gentilshommes se jette à l’assaut du succès personnel et du bonheur. Avec une ironie corrosive, Thackeray nous donne à voir la mesquinerie et la bêtise qui se dissimulent derrière les manières de la haute société du temps.
Un étonnant portrait de femme se dégage au milieu de cette chorégraphie, celui de Becky Sharp, orpheline désargentée qui compense en talent et en ruse les titres qui lui font défaut. Véritable self-made-woman avant l’heure, à la fois impitoyable et irrésistible, elle ne reculera devant aucune extrémité pour garantir sa fortune.
Paru en 1848, La Foire aux Vanités est un prodigieux roman satirique, qui frappe par sa justesse de caractère, assurant la postérité de Thackeray aux côtés de Dickens. C’est aussi un roman philosophique qui pose une question morale essentielle : peut-on faire autrement, pour se hisser au sommet de la société, que de bafouer les principes dont elle se réclame ?
Un étonnant portrait de femme se dégage au milieu de cette chorégraphie, celui de Becky Sharp, orpheline désargentée qui compense en talent et en ruse les titres qui lui font défaut. Véritable self-made-woman avant l’heure, à la fois impitoyable et irrésistible, elle ne reculera devant aucune extrémité pour garantir sa fortune.
Paru en 1848, La Foire aux Vanités est un prodigieux roman satirique, qui frappe par sa justesse de caractère, assurant la postérité de Thackeray aux côtés de Dickens. C’est aussi un roman philosophique qui pose une question morale essentielle : peut-on faire autrement, pour se hisser au sommet de la société, que de bafouer les principes dont elle se réclame ?
Genre littéraire
Romans et récits
Pays
Époque
XIXe siècle
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Détails
1072 pages - 108 x 178 mm
EAN
9782070386635
Date de parution
Editeur :
Sylvère Monod
Traduit (anglais) par :
Georges Guiffrey
Collection