$Le fracas du temps - Julian Barnes$

Le fracas du temps

The Noise of Time

Dans la Russie de Staline, un trait de plume du tyran suffit à vous condamner à mort et à faire disparaître votre œuvre. Le jour où le jeune compositeur Dmitri Chostakovitch, au succès international, découvre dans la Pravda un article qui l’accuse de «déviationnisme élitiste et bourgeois», il comprend que sa famille et lui sont menacés. C’est le point de départ d’une existence tiraillée entre la crainte permanente du pouvoir, l’instinct de survie et la quête de liberté.
Julian Barnes explore en trois tableaux la vie et l’âme
d’un grand créateur qui s’est débattu dans le chaos de son époque, tout en essayant de ne pas renoncer à son art. Un récit subtil et poignant.

Genre littéraire

Romans et récits

Genres Littérature contemporaine >

Littérature étrangère >

Anglo-saxonnes

Pays

ROYAUME-UNI

Époque

XX^e-XXI^e siècle

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Détails

256 pages - 108 x 178 mm

EAN

9782072743344

Date de parution

15/02/2018

Traduit (anglais) par :

Jean-Pierre Aoustin

Collection

Folio - n^o6426

Dans les médias

« Le Britannique livre un magistral roman biographique, formellement impressionnant et d'une grande finesse historique et politique. » Baptiste Liger, Lire. « Une farce grinçante et glaçante, que la résurgence des régimes théocratiques place aujourd'hui au cœur de l'actualité. » Bruno Juffin, Les Inrocks. « D'une écriture qui enchante par sa finesse et son excellence, Julian Barnes interroge avec acuité la place de l'art et de l'authentique musique dans un contexte de répression. » Geneviève Simon, La Libre Belgique. « L’auteur de Love, etc. (Prix Femina 1992) a écrit un roman subtil sur le courage, la bêtise du tout-politique, l’art. Bouleversant. » Marie-Laure Delorme, Le Journal du Dimanche. « Roman poignant illustrant la difficile survie artistique en milieu hostile. » Françoise Dargent, Le Figaro littéraire. « Le récit de ces heures tragiques témoigne finalement de la grandeur de l’homme, dont les hésitations sont le signe d’un combat durement mené. » Bertrand Dermoncourt, L’Express.